Pourquoi
investir au Togo?
Depuis 2004, le Togo est parvenu à créer un
environnement politique et social stable et à restaurer la confiance des
bailleurs de fonds internationaux.
Sous
l’égide de l’Union Européenne, le Togo est parvenu à la signature le 20 août
2006 d’un Accord Politique Global associant le Gouvernement, les partis
politiques et la société civile. De cet Accord Politique Global est né un
Gouvernement d’union nationale.
Le dialogue
et la concertation politiques sont désormais institutionnalisés au sein du
Conseil national de concertation et de dialogue politique dont le but est de «
créer, par un dialogue permanent, les conditions de stabilité et de
consolidation des institutions démocratiques et républicaines autour des
questions d’intérêt national et des principes démocratiques et républicains »
Un Cadre
permanent de dialogue et de concertation devant désormais connaître de toutes
les questions d’intérêt national se substitue au Conseil national de
concertation et de dialogue politique. Ce Cadre permanent de dialogue et de
concertation regroupera, outre les partis politiques représentés à l’assemblée
nationale, les partis ayant obtenu 5 % ou plus des suffrages aux dernières
élections législatives et des personnalités désignées par le président de la
République.
L’appui des bailleurs de fonds
internationaux
Le Togo
jouit du soutien des bailleurs de fonds internationaux (principalement l’Union
Européenne, la Banque Mondiale, le Fonds Monétaire International)
qui, tous, octroient de nouveau leur soutien financier et de l’Agence
Française de Développement (ci-après « AFD ») qui a toujours maintenu son
aide au Togo sans discontinuité.
Ainsi, l’Union
Européenne, le plus important bailleur de fonds du Togo, a
annoncé à la fin de 2007 la reprise de son aide financière après 15 années de
suspension
Le Fonds
Monétaire International (FMI) a suivi l’Union Européenne et a été la première
grande institution financière internationale à accorder de nouveau un prêt au
Togo en 2008. En 2008 également, le Conseil de la Banque mondiale a approuvé
une allocation extraordinaire de l’IDA pour aider le Togo à rembourser ses
arriérés, ainsi qu’une contribution financière destinée à aider le pays à
financer son budget.
D’autres partenaires bilatéraux et multilatéraux se réengagent au Togo. Ainsi, en 2008, le Conseil exécutif de la Banque africaine de développement a approuvé une subvention pour aider le Togo à rembourser ses arriérés dans le cadre de sa nouvelle facilité pour les États fragiles. Le 12 juin 2008, le Club de Paris a accepté d’effacer tous les arriérés du Togo en annulant et en rééchelonnant ses dettes, et en rééchelonnant tous les services de la dette dus au cours des prochaines années.
D’autres partenaires bilatéraux et multilatéraux se réengagent au Togo. Ainsi, en 2008, le Conseil exécutif de la Banque africaine de développement a approuvé une subvention pour aider le Togo à rembourser ses arriérés dans le cadre de sa nouvelle facilité pour les États fragiles. Le 12 juin 2008, le Club de Paris a accepté d’effacer tous les arriérés du Togo en annulant et en rééchelonnant ses dettes, et en rééchelonnant tous les services de la dette dus au cours des prochaines années.
Surtout,
l’Association internationale de développement (IDA) de la Banque mondiale et le
Fonds monétaire international (FMI) ont décidé que la République du Togo
pouvait être admise à recevoir un allégement de la dette au titre de l’Initiative
en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE) renforcée, lui permettant ainsi
d’atteindre le point de décision prévu par cette initiative. Le Togo devient le
34ème pays à atteindre son point de décision. Le Togo va ainsi recevoir un
allégement intérimaire de la dette de la part de certains créanciers, à
condition toutefois de mettre en œuvre un large éventail de réformes.
En dépit des
conséquences de la crise économique internationale, le Togo récolte les
premiers fruits de la politique économique mise en œuvre par le Gouvernement
avec le soutien des bailleurs de fonds internationaux.
Pour la
période 2008-2010, les objectifs du pays en matière économique sont ambitieux,
mais réalistes :
Ramener le taux de croissance de 1,9% en 2007 à 4,2%
en 2010 ;
Relancer les investissements en les
faisant passer de 14,1% du PIB en 2007 à 19,5% en 2010 ;
Relever le niveau des ressources
budgétaires à 17,8% du PIB en 2010 grâce aux réformes fiscales ;
Dégager un solde budgétaire primaire de
1,5% du PIB en 2010 ;
Contenir l’inflation dans la marge fixée
par l’UEMOA ;
Ramener le déficit de la balance des paiements courants de 7,9% du PIB en
2008 à 6,4% en 2010 malgré un environnement international difficile ;
Ramener le poids de la dette à un niveau soutenable d’ici 2010 : 36,3% du
PIB en 2010 contre 90% en 2005.
L’appui des bailleurs de fonds internationaux accompagne l’assainissement des finances publiques que d’importantes réformes de la gouvernance budgétaire ont permis de réaliser. Une meilleure maîtrise des dépenses budgétaires conjuguée avec l’accroissement des recettes fiscales permettent au Togo de ne plus accumuler d’arriérés intérieurs.
Le Gouvernement togolais, soucieux d’assurer une meilleure mobilisation des ressources internes et une meilleure gestion des finances publiques, s’est fixé pour objectif (Fonds Monétaire International, Document intérimaire de stratégie pour la réduction de la pauvreté) :
- D’accroître les recettes budgétaires, qui
représenteront 17,8 % du PIB en 2010 ;
- De dégager un excédent du solde budgétaire primaire d’au moins 1,5 % du PIB en 2010.
- De dégager un excédent du solde budgétaire primaire d’au moins 1,5 % du PIB en 2010.
Le Togo
modernise ses administrations civiles et judiciaires, dans le but d’adopter des
mécanismes de gestion transparente et de recruter des ressources humaines de
qualité pour le service de l’Etat.
Conscient des insuffisances des administrations publiques civiles et judiciaires, le Gouvernement togolais a décidé un ambitieux programme de réformes. Les Etats Généraux de l’Administration Publique de 2006 ont abouti à l’élaboration du Cadre national de réforme et de modernisation de l’administration articulé autour des six objectifs suivants :
Conscient des insuffisances des administrations publiques civiles et judiciaires, le Gouvernement togolais a décidé un ambitieux programme de réformes. Les Etats Généraux de l’Administration Publique de 2006 ont abouti à l’élaboration du Cadre national de réforme et de modernisation de l’administration articulé autour des six objectifs suivants :
- Redéfinition et clarification des missions de l’Etat ;
- Renforcement des capacités de l’administration publique en tenant compte de la masse salariale et des effectifs, de la nécessité d’une culture administrative et des besoins matériels et informatiques ;
- Rationalisation des structures et les normes suivant les critères d’une administration moderne ;
- Renforcer l’efficacité du travail gouvernemental par une meilleure coordination et tout en respectant la neutralité politique et la continuité du service public ;
- Promouvoir un environnement de travail motivant et moderne dans l’administration, notamment par une politique d’amélioration des relations entre l’administration et les usagers ;
- Promouvoir le cadre programmatique et institutionnel de la réforme (création des organes de pilotage, de gestion et de suivi de la réforme).
Outre la
modernisation de son administration, le Togo a entrepris de mettre en œuvre un
processus de réforme destiné à améliorer la sécurité juridique et judiciaire,
et à conforter l’Etat de droit et la démocratie.
Un ambitieux Programme National de Modernisation de la Justice (PNMJ) est conduit depuis 2006 selon les six axes suivants :
Un ambitieux Programme National de Modernisation de la Justice (PNMJ) est conduit depuis 2006 selon les six axes suivants :
Le renforcement de la capacité de
l’administration du Ministère de la Justice du Togo à gérer le service public
de la Justice ;
La modernisation de la
législation ;
Le renforcement des capacités de la
magistrature et des auxiliaires de justice à travers la mise en place d’un
Centre de formation des professions judiciaires (CFPJ), créé au sein de l’ENA
mais fonctionnellement indépendant de cette dernière. Une attention
particulière est également portée au sein du CFPJ à la formation des
auxiliaires de justice, greffiers, notaires, commissaires priseurs, officiers
de police judiciaire ;
L’amélioration des infrastructures, afin
de faciliter le travail des magistrats ;
Le renforcement de la soumission de
l’Etat au droit, au moyen de la mise en place d’un contrôle juridictionnel de
l’action et des comptes publics (création d’une Cour des comptes) ;
La garantie de l’accès au droit à tous
les citoyens.
La mise en œuvre du
Programme National de Modernisation de la Justice qui suppose en
particulier la révision du Code de l’organisation judiciaire issu de
l’ordonnance 78-35 en date du 7 septembre 1978 portant organisation judiciaire
et de ses textes d’application, recompose très largement l’organisation
judiciaire du Togo.
Ce vaste
programme vise à améliorer la sécurité juridique et judiciaire notamment en
passant par un meilleur découpage judiciaire et la décentralisation des
juridictions spécialisées. Les grandes modifications du système judiciaire
togolais se retrouvent surtout dans la restructuration des tribunaux du premier
degré de juridiction.
Le système judiciaire réformé comportera :
Un système de cassation et d’appel identique au
système actuel. Outre la révision du Code de l’organisation judiciaire, le
Programme National de Modernisation de la Justice vise également à :
L’élaboration d’un
code de procédure administrative distinct du code de procédure pénale et du
code de procédure civile ;
Création d’une Cour
des Comptes (projet de loi portant création d’une Cour des comptes) ;
Renforcement des
capacités des magistrats et auxiliaires de justice grâce au recrutement de
magistrats supplémentaires, à la création d’un centre de formation (CFPJ) et à
une réforme du statut et de l’organisation du Conseil Supérieur de la
Magistrature ;
La garantie de l’accès
au droit à tous les citoyens.
Les
marchés publics de la République togolaise sont actuellement régis par
l’Ordonnance n°93-006 du 4 août 1993 portant code des marchés publics et les
décrets n°94-039/PR qui fixent les seuils d’application de la législation.
Modes de passation des marchés :
- Adjudication
- Appels d’offres ouverts ou restreints
- Négociation
Institution de référence : Commission Nationale des Marchés Publics
BIENVENU AU TOGO
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