samedi 19 janvier 2013

Conflit et Méthodes de Gestion des Conflits dans l’Entreprise



Conflit et Méthodes de Gestion des Conflits dans l’Entreprise


Un conflit :
Le conflit est un affrontement entre des intérêts, des valeurs, des actes ou des procédures.C’est un désaccord, une idée s’opposant à une autre. Il peut y avoir un désaccord sans qu’il y ait de conflit.
Les causes du conflit :
La perception : Nous possédons un système de pensée générateur de structures mentales auto-organisées ; la façon dont nous décodons, les symboles, est différente pour chacun. C’est cette différence qui engendre des conflits.
Le changement : Il inspire le danger parce qu’il représente la perte de repères connus, perte d’une condition établie et sûre. Les réactions aux changements sont sources de conflit.
Une négociation qui n’aboutit pas : La négociation aboutit à des compromis sur l’argumentaire ; rien de nouveau n’en ressort. Si elle n’aboutit pas, elle renforce les positions de chacun. En éloignant le conflit, elle garde les contradictions.
L’esprit combatif mal orienté : Dans notre société, l’esprit combatif valorise l’individu. Or, dans le cadre d’un conflit interne à l’entreprise, il est un non-sens; il n’a aucun effet créatif, au contraire. Dans l’entreprise, les luttes intestines n’engendrent aucune dynamique, sinon celle de la destruction.
Types de conflits et risques respectifs :
Le conflit expérimental : On l’utilise sciemment pour tester le pouvoir d’un individu, ses aptitudes. Risque que l’une des deux parties “pousse” ou provoque l’autre en vue de mesurer son pouvoir.
Le conflit instrumental : C’est un désaccord sur les moyens pour atteindre une finalité.
Risque que cela apparaisse comme une incapacité à déléguer, à communiquer.
Le conflit sur les orientations / stratégies : L’objet du conflit concerne la détermination des objectifs d’une entreprise ou d’un service.
˚ Risques : de démission d’un des protagonistes, de tentatives de sabotage réciproques, d’atonie, d’attente de l’erreur de l’adversaire
Le conflit de personnes : Il résulte d’une mésentente entre deux personnes se traduisant par des discours discriminatoires et publics.
 Risques de manipulations, de conflit généralisé, de mauvaise ambiance.
Le conflit sur les valeurs : C’est la confrontation de deux croyances, de deux idées différentes.
˚ Risques de troubles psychologiques pour l’un des protagonistes et d’impossibilité durable de coopération.
Le conflit interne : On parle de conflit interne lorsque la critique sur l’entreprise est systématique mais cachée par l’un (ou plusieurs) des services ou entre eux.
˚ Risque de démobiliser l’organisation et d’engendrer une concurrence contreproductive entre les différents services, notamment du fait d’un mauvais passage de l’information.
Conséquences du conflit :
En relation avec les causes, les différentes parties ne réagissent pas de la même manière.
˚ Chaque partie reste sur sa position = rigidité.
˚ Aucune des parties ne tente de proposer une alternative aux idées qui s’affrontent.
˚ La rigidité de l’argumentaire entraîne une perte de temps, d’énergie et d’argent.
= discussions stériles.
˚ L’intelligence et l’esprit créatif de chacun sont utilisés dans le seul but de détruire l’argumentaire adverse et non pas d’améliorer une idée.
˚ L’idée la plus forte prend le dessus ; ce n’est pas forcément la meilleure !
Comment gérer un conflit :
Pour éviter les malentendus  que provoque quelquefois l'ambiguïté du langage :
¸ comprendre la nature de la perception.
¸ être conscient des pièges du langage.
Pour une pensée créative : l’exploration
¸ l’idée de départ est acceptée sans être attaquée ; on accepte la réalité.
¸ les deux parties s’impliquent dans l’exploration et la construction créatives.
¸ le temps est utilisé intelligemment, dans un esprit créatif.
¸ l’opposition des idées est simplement reconnue mais ne fait pas l’objet d’un
affrontement :
-  on propose de modifier la formulation de l’idée
-  on tente de réconcilier les idées apparemment si différentes
¸ l’idée nouvelle est conçue et évaluée en commun (= critique)
¸ le conflit est inexistant = il n’y a pas “son” idée contre la “mienne” = il y a “nôtre”
Idée
Les étapes du processus :
(par personne interne au conflit ou par tierce personne)
1) Prévoir :
=> encourager un comportement communicatif et coopératif
(un travail sur soi, pour chacun)
1. S’assumer :
=> que chacun s’affirme en :  - s’autodéterminant, en  participant
2. Donner la priorité aux perturbations :
=> tous doivent rechercher une aide à l’intégration au groupe et doivent s’exprimer.
3. Authentifier et sélectionner la communication :
=> être soi-même tout en modérant ses faits et gestes
4. parler à autrui mais pas d’autrui :
=> donner du “feed-back” et ne pas interpréter les autres
5. observer ses gestes et ceux des autres
=>pour mieux comprendre ce qui est exprimé par le langage
2) Diagnostiquer :
- identifier le problème
- identifier le problème dans l’organisation
³ Faire part de ses sentiments
³ Formuler l’aspect du conflit pour l’autre ou l’interroger
³ Définir clairement le conflit
³ Attention ! laisser s’exprimer l’autre (écoute active)
³ Se mettre d’accord sur la solution
3) Fixer les objectifs à atteindre :
* Le plan d’action s’élabore lors des - entretiens
- réunions             
- évaluations
(du fait d’un souci de concertation et de coopération avec les collaborateurs)
* Faire place à la créativité : - chacun propose une solution
- on propose des alternatives
- on évalue les solutions évoquées
4) Appliquer la politique choisie :
³ L’application doit être intègre mais aussi critique.
³ Le problème peut être réexaminé.
 Grille d’analyse stratégique - OCASE*
1. Identifier le problème (la situation-problème)
2. Identifier les acteurs concernés
3. Appliquer la grille
Acteurs : individus ou groupes qui participent à une action et qui ont des intérêts communs pour cette action.
Objectif(s) : but(s) que l’on veut atteindre. Ils sont déclarés, quantifiables et généralement cohérents avec ceux de l’organisation.
Enjeu(x) : valeur que chacun attribue à une action, ce qu’il peut gagner ou perdre au-delà des objectifs de cette action.
Atout(s) : ressources pertinentes en vue d’obtenir l’enjeu.
Contrainte(s) : limites organisationnelles, psychologiques,... qui déterminent  le déroulement de l’action ainsi que l’élaboration des stratégies des acteurs (réelles ou supposées).
Stratégie(s) : comportement(s) qui mobilise(nt) les ressources pertinentes d’une situation et les opportunités qui se présentent pour  atteindre des objectifs.
Comportements = déclarations
Faits = intentions
Type de conflit / Situation & résolution
Compétition :
1. Quand on a absolument besoin d’une action rapide et décisive; par exemple en cas d’urgence.
2. A propos de problèmes importants, quand il faut prendre des mesures impopulaires ; par exemple coupures dans les prix de revient ; certaines mesures de discipline.
3. A propos de questions cruciales pour le bien de l’organisation, quand vous  savez que vous avez raison.
4. Contre les gens qui tirent avantage d’un comportement non compétitif.
Collaboration :
1. Trouver une solution intégratrice quand les deux ensembles de principes sont trop importants pour se prêter à des compromis.
2. Quand l’objectif est d’apprendre.
3. Pour faire converger les idées de gens qui ont des perspectives différentes.
4. Pour obtenir l’engagement des autres en intégrant leurs problèmes dans un accord.
5. Pour travailler sur les sentiments qui ont causé des problèmes dans une relation.
Compromis :
1. Quand les buts sont importants, mais ne valent pas l’effort nécessaire ou la rupture possible si l’on s’affirmait davantage.
2. Quand des adversaires dotés d’un pouvoir égal sont décidés à atteindre des buts qui s’excluent mutuellement.
3. Pour résoudre de façon temporaire des questions complexes.
4. Pour arriver à des solutions commodes quand le temps presse.
5. Comme dernière ressource si la collaboration ou la compétition ne réussit pas.
Évitement :
1. Quand une question a peu d’importance ou qu’il en existe de plus urgentes.
2. Quand vous ne percevez aucune chance de réussite.
3. Quand une rupture potentielle est plus sérieuse que les bénéfices d’une solution
4. Pour laisser les gens se calmer et retrouver un sens de la perspective.
5. Quand il est plus important de recueillir de l’information que de prendre une décision immédiate.
6. Quand un problème semble tangent à d’autres ou en être le symptôme.
Concession :
1. Quand vous constatez que vous avez tort - pour permettre aux tenants d’une meilleure solution de se faire entendre, pour apprendre et pour montrer que vous êtes raisonnable.
2. Quand les questions sont plus importantes pour les autres que pour vous-même,  pour satisfaire les autres et conserver leur coopération.
3. Pour produire et accumuler des crédits d’ordre social en prévision du prochain problème.
4. Pour minimiser l’échec lorsque vos adversaires sont plus forts que vous et que vous êtes en train de perdre.
5. Quand l’harmonie et la stabilité ont une importance particulière.
6. Pour permettre à vos subordonnés de s’améliorer en apprenant à partir d’erreurs
Cinq attitudes “Force” pour gérer le conflit
·         Concertation et travail de groupe
·         Respect de l’autre et de ses sentiments
·         Remise en question perpétuelle de soi  et empathie
·         Communication efficace : écoute active et ouverture
·         Détermination à poursuivre les objectifs  communs et à réussir
La motivation comme arme fatale anti-conflits
Etre motivé dans son travail, c’est se sentir concerné par l’avenir et le sort de la société pour laquelle on travaille. C’est servir la cause de l’entreprise avec la conviction que c’est aussi une juste cause pour soi. Or, lorsque tout un groupe sert la même cause avec enthousiasme, le conflit n’a pas lieu d’être, sauf éventuellement sur la forme; dans ce cas, ce n’est pas  à proprement parler un conflit mais un défaut de management...
Si l’on prête attention et intérêt aux besoins universels de l’homme, alors il nous est permis de
déterminer les facteurs de motivation au travail.
L’Homme a des besoins universels ...
En tant qu’être humain, chacun de nous aspire à un maximum de SECURITE et de
NOUVEAUTE.
Sécurité et nouveauté, encadrement et ouverture sont les piliers de la SERENITE !
... et des facteurs de motivation au travail.
Au sein d’un groupe de travail, les collaborateurs doivent pouvoir sentir qu’ils ont à la fois la SÉCURITÉ d’être encadrés, guidés, et soutenus, et aussi la possibilité d’évoluer, de connaître de NOUVELLES EXPÉRIENCES.
Comment cela pourrait-il se concrétiser ?
C’est une histoire de management...
¸ Organisation du travail :
- définition claire des objectifs et méthodes
- une communication interne effective
- la possibilité d’une assistance
- une hiérarchie efficiente (disponible et prévisible)
¸ Conditions de travail :          
- une formation continue et diversifiée
- une flexibilité possible des horaires
- des possibilités d’ouverture vers d’autres secteurs de promotion interne

dimanche 13 janvier 2013



INVESTIR A L’INTERNATIONAL :

I -  IDE et délocalisation :

Investir à l’international peut présenter d’intéressantes opportunités mais aussi davantage de risques qu’investir sur son marché national car une variable s’ajoute : le fait de travailler dans un contexte différent. Cela engendre une multitude de changements, notamment au niveau du cadre culturel, juridique, fiscal, commercial, etc.

IDE : un investissement direct à l’étranger est un investissement réalisé par l’entreprise d’un pays pour s’implanter dans un autre pays.

Le FMI retient trois critères :
* Acquérir un intérêt durable.
*  Dans une entreprise exerçant ses activités sur le territoire d’une économie autre que celle de l’investisseur.
*  Et avoir un pouvoir effectif dans la gestion de l’entreprise.

Les trois principales raisons sont les suivantes (trois M : matières, main-d’œuvre, marchés) :
-  accès aux matières premières ;
-  délocalisation de la production (accès à une main d’œuvre « moins coûteuse » ou plus qualifiée) ;
-  accès aux marchés (complémentarités produits-marchés, taille critique, accès à une zone de libre échange…).

Il y a différents type d’IDE (industriel, commercial, financier), ils s’effectuent selon différents modalités (joint venture, filiale 100%...), avec différentes formes juridiques (bureau de représentation, SA, SARL ou équivalent…). Une « joint venture » est une entreprise réunissant des partenaires de différentes nationalités, en général sous la forme juridique d’une société.

NE PAS CONFONDRE IDE ET DÉLOCALISATION

La délocalisation consiste en un transfert de tout ou partie du processus de production dans un pays étranger dans le but de bénéficier d’avantages en termes de coûts du travail. Les deux notions ne sont pas nécessairement confondues. Un IDE n’est pas nécessairement une délocalisation (cf. les deux raisons : matières et marché). Une délocalisation n’est nécessairement un IDE : elle peut se faire par sous-traitance, sans investissement.

II –  La joint venture :
La création d’une joint venture s’étend sur un minimum de trois à six mois, plutôt un an. Il s’agit en effet de s’allier avec un ou plusieurs partenaires locaux ou étrangers et de déterminer toutes les clauses contractuelles qui seront nécessaires au bon déroulement de l’entreprise créée, jusqu’à s’entendre sur le terme d’une possible cession ou liquidation. Les différentes étapes à suivre sont les suivantes :

1 – Recherche d’informations sur des partenaires locaux potentiels
2 – Contacts
3 – Si entente possible, rédaction d’une « lettre d’intention » ou memorendum of understanding.
Chaque partenaire déclare son intention de réaliser un projet en commun sans prendre l’engagement de le faire.
4 – Etude de faisabilité : il s’agit de formuler les conditions d’exploitation et procéder à différentes études (étude de marché et de rentabilité, étude technologique, étude réglementaire).
5 – Joint Venture agreement : il faut veiller à certains points sensibles : répartition des pouvoirs et des responsabilités, contrôle de l’actionnariat, clause de sortie, attribution de juridiction, clause de non concurrence.
6 – Contrats associés (ou contrats annexes) : ils concernent les approvisionnements (auprès des partenaires), l’exportation (réseau de partenaires), les transferts de technologie, l’assistance technique…

A ces études s’ajoute l’évaluation du risque pays. Il importe également d’évaluer le climat des affaires et l’environnement économique et social.




vendredi 28 décembre 2012

 

Comment la RD Congo gâche son potentiel pétrolier


Malgré un potentiel indéniable, la prospection pétrolière reste marginale, et le secteur tarde à se réformer. Qu'est-ce qui ne va pas à Kinshasa ?


Avec les 25 000 barils extraits chaque jour par le franco-britannique Perenco dans la province du Bas-Congo, la RD Congo est loin de jouer dans la cour des grands. Ce n'est pourtant pas faute d'un potentiel important, en particulier dans les zones frontalières de l'Ouganda et de l'Angola. Si, dès 2005, la prospection a été engagée dans le bassin côtier (six blocs octroyés) et dans le graben Albertine (quatre blocs octroyés sur les cinq délimités), elle reste insignifiante dans la Cuvette centrale, une vaste zone découpée en une vingtaine de blocs, ainsi que dans le graben Tanganyika et le lac Upemba où, respectivement, dix et trois blocs ont été ouverts depuis 2010, aucun n'ayant encore été attribué.
Lenteur
Longtemps marginalisé dans la politique économique du pays, le secteur pétrolier pâtit d'un manque de stratégie et de gouvernance qui explique en partie la lenteur des réformes. Ainsi, bien que prévue dans l'accord triennal signé le 11 décembre 2009 avec le Fonds monétaire international (FMI), la promulgation du code des hydrocarbures traîne. Seule la réglementation fiscale a été actualisée.
Au chapitre des entraves : la corruption, le déficit d'informations sur les contrats signés, le montant variable des bonus et le manque de respect des engagements pris. Les blocs 1 et 2 du graben Albertine ont ainsi été attribués à Tullow Oil et Heritage Oil, puis aux sud-africains Divine Inspiration Group et PetroSA, avant de revenir en 2010 aux sociétés Caprikat et Foxwhelp, immatriculées dans les îles Vierges britanniques. À ceci s'ajoutent des différends frontaliers : sur le bassin côtier, la RD Congo et l'Angola sont en conflit sur la délimitation des espaces maritimes ; sur le lac Albert, les tensions avec l'Ouganda sont toujours d'actualité, tandis que les groupes armés présents dans l'Est ne demandent qu'à prendre le contrôle des gisements. Enfin, l'activité pose des questions environnementales, notamment dans le Bas-Congo et dans le parc national des Virunga.

jeudi 20 décembre 2012



[UNIVERSITÉ SENGHOR DE LA FRANCOPHONIE] Concours de recrutement de la XIVème promotion avec 120 bourses



L'Université Senghor, Opérateur direct des Sommets des Chefs d’État et de Gouvernement ayant le français en partage, lance le concours de recrutement de la XIVème Promotion (2011-2013) au programme du Master en Développement dans neuf spécialités, pour la rentrée 2013 : Master de haut niveau, reconnu internationalement, en particulier par le CAMES. Master dont les enseignements sont assurés par des professeurs spécialistes provenant des grandes universités européennes, canadiennes et africaines et des institutions internationales.

* DEPARTEMENT « ADMINISTRATION - GESTION »
[1] Spécialité : Management de Projets
[2] Spécialité : Gouvernance & Management Public

* DEPARTEMENT « SANTÉ »
[3] Spécialité : Santé Internationale
[4] Spécialité : Politiques Nutritionnelles

* DEPARTEMENT « CULTURE »
[5] Spécialité : Gestion du Patrimoine Culturel
[6] Spécialité : Gestion des Industries Culturelles
[7] Spécialité : Communication et Médias

* DEPARTEMENT « ENVIRONNEMENT »
[8] Spécialité : Gestion de l’Environnement
[9] Spécialité : Gestion des Aires Protégées

Modalités pratiques:
À l’issue du concours de recrutement, l’Université Senghor offre aux candidats définitivement admis, âgés de moins de 36 ans au 1er septembre 2013, 120 bourses couvrant les frais de vie à Alexandrie (hébergement à Alexandrie, repas du midi, assurance médicale, transport à l’Université) et les frais de stage. Les candidats boursiers de l’Université Senghor auront uniquement à s’acquitter d’un droit d’inscription de 500 €.

Par ailleurs, l’Université Senghor inscrira des candidats admissibles supplémentaires n’ayant pas été classés pour l’obtention d’une bourse mais qui sont en mesure d’assumer les droits d’inscription ainsi que les frais de vie qui se montent à 2500 €, pour l’année académique 2013-2014, couvrant l’hébergement à Alexandrie, les repas du midi, une assurance médicale, les transports à l’Université. Les étudiants non-boursiers de l’Université Senghor devront en outre, assurer la totalité de leurs frais de stage.

Les frais de voyage aller-retour du pays d'origine à Alexandrie sont à la charge de tous les candidats admis.
Les frais de scolarité sont gratuits pour tous les étudiants inscrits à l’Université Senghor.

Conditions d'admission au programme du Master en Développement:

*Être titulaire d'une licence ou d’un diplôme équivalent et faire état d'une expérience professionnelle pertinente d’un an au minimum;
* Réussir les trois étapes du concours d’entrée au Master en Développement à savoir :
- Examen du dossier de candidature rempli obligatoirement en ligne sur le site de l’Université Senghor : www.usenghor-francophonie.org
- Épreuve écrite organisée dans le pays de résidence du candidat retenu sur dossier.
- Entretien avec un représentant de l'Université. Le candidat admissible, après l'épreuve écrite, est convoqué à une entrevue qui pourra le cas échéant, être réalisée par visioconférence.

L’appel à candidatures sera clos le jeudi 7 mars 2013

Seules les candidatures enregistrées en ligne seront étudiées.

Chaque personne ayant déposé un dossier complet de candidature en ligne recevra par courriel un identifiant et un mot de passe permettant d’actualiser son dossier, jusqu’à la date de clôture de l’appel.

Pour accèder au formulaire en ligne pour enregistrer votre candidature, cliquez ici... http://senghor.refer.org/

Les étudiants ayant réussi l'examen devront fournir les pièces suivantes pour être admis à l'entretien oral


(1) Copie légalisée des diplômes mentionnés;
(2) Relevé des notes du diplôme universitaire (original ou copie légalisée);
(3) Certificat de travail établi par le ou les employeur(s) justifiant des expériences professionnelles;
(4) Pour les fonctionnaires, autorisation de l'employeur à concourir;
(5) Lettre(s) de recommandation avec les coordonnées du signataire : (nom, qualité, coordonnées complètes).

Pour tout renseignement complémentaire, contacter:
concoursderecrutement@usenghor-francophonie.org

Calendrier du concours:

- 16 décembre 2012: Diffusion de l’appel à candidatures
- Jeudi 7 mars 2013: Clôture des candidatures
- Jeudi 21 mars 2013 : Jury d’admission sur dossier des candidats autorisés à poursuivre le concours.
Pour chaque pays, il est établi une liste des ressortissants nationaux, ce qui permettra leur convocation, pour l’examen écrit, par les Services de Coopération et d’Action Culturelle.

- Dimanche 24 mars 2013: Diffusion de la liste des candidats autorisés à poursuivre le concours.
Pour chaque pays, il est établi une liste des ressortissants nationaux, ce qui permettra leur convocation, pour l’examen écrit, par les Services de Coopération et d’Action Culturelle.

- Mercredi 27 mars 2013: Envoi par courrier express, des dossiers d’examen aux centres d’examen des pays concernés.
- Mardi 9 avril 2013: Examen écrit. Retour par courrier express prépayé par l’Université Senghor, des copies d’examen.
- Mercredi 24 avril 2013: Établissement des listes des candidats admis à passer l’entretien oral.
Ces listes sont envoyées à chaque poste concerné pour convocation des ressortissants nationaux à la date indiquée sur le calendrier de déplacement des professeurs chargés du recrutement.
Diffusion des listes des candidats admis à passer l’entretien oral du concours de recrutement
- Du 13 au 23 mai 2013: Entretiens oraux par visioconférence des candidats de certains pays.
- Lundi 27 mai 2013: Début des entretiens oraux sur place éventuellement dans les pays où il y a de nombreux candidats.
- Lundi 10 juin 2013 : Jury d’admission des candidats définitivement admis
- Mardi 11 juin 2013: Diffusion des listes des candidats définitivement admis (Boursiers et Non-Boursiers)
Ces listes sont envoyées aux postes concernés pour information des ressortissants nationaux.

- Dimanche 4 août 2013: Dernier délai de paiement des droits d’inscription des candidats boursiers
Dernier délai de paiement des droits d’inscription et des frais de vie des candidats non-boursiers

NB: Pour accèder au formulaire en ligne pour enregistrer votre candidature, cliquez ici... http://senghor.refer.org/

Pour tout renseignement complémentaire, contacter:
concoursderecrutement@usenghor-francophonie.org