mercredi 29 février 2012

Comptabilité analytique La comptabilité des matières : Évaluation des sorties


                       Comptabilité analytique
La comptabilité des matières : Évaluation des sorties

On a vu que le but de la CAE est la détermination du coût de revient. Dans ce coût en trouve la consommation de MP qui proviennent du stockage donc il faut déterminer leur coût de sortie du magasin de stockage. Lorsqu’il s’agit de MP ou de PF individualisés et identifiables. L’évaluation des sorties ne pose aucun problème.
C’est l’exemple d’une entreprise qui monte et revend des voitures, par contre le problème d’évaluation se pose dans le cas des MP ou PF interchangeables (qui se mélange).
Exemple :
Le stock de blé chez DIALLO 
- achat 10 tonnes de blé à 2000 FCFA la tonne
- stock initial 6 tonnes à 1990 FCFA la tonne

On veut faire sortir 14 tonnes, la sortie de 14 tonnes utilisera 2 lot différent donc faut il appliqué le prix de 2000 FCFA ou de 1990 FCFA ?

Réponse : on n’appliquera ni l’un, ni l’autre.
La CAE nous propose le procédé suivant :
·       Le coût moyen unitaire pondéré :
1.    CMUP après chaque entrée ; 
2.    CMUP unique ou mensuel
.
·       La méthode de l’épuisement des lots :
1.    F I FO
2.    L.I.F.O



CMUP = S I + dernier achat (en valeur) / SI + dernier achat (quantité)
Les mouvements entrée, sortie, stock sont tenu dans un document appelé fiche de stock.


 CMUP unique ou mensuel (fin de période)

Il est obtenu par la formule suivante :

CMUP = Stock initial + cumul des entrées (en valeurs)  / Stock initial + cumul des entrées (en quantités)

mardi 28 février 2012

Introduction à la comptabilité analytique



 Introduction à la comptabilité analytique


 Section 1 : Naissance de la comptabilité analytique d’exploitation (CAE):

La CAE est une comptabilité nouvelle, elle est apparue dans les années 30 pour 2 types de raisons :
·         les insuffisances de la comptabilité générale ;
·         raisons historiques (1930 : la crise économique mondiale).

A) Les insuffisances de la CG :

La comptabilité qui existait avant présente les insuffisances suivantes :
- c’est une comptabilité descriptive et non analytique ;
- c’est une comptabilité annuelle ;
- c’est une comptabilité qui ne détermine la valeur du stock qu’à la fin de l’année (par la méthode de l’inventaire extra comptable) ;
- c’est une comptabilité qui détermine des résultats globaux et non partiels.

(Exemple : une entreprise fabrique 3 produits : pour A = 800, B = -400, C = 400, on comptabilité générale le résultat c’est un bénéfice de 800. Est-ce que la gestion de cette entreprise est bonne ?. Non, l’analyse du résultat nous montre que l’entreprise a intérêts à éliminer la production de B et de préférence se spécialiser dans le produit A.
Pour remédier à ces lacunes, la CAE présente les caractéristiques suivantes :
- elle permet de faire des analyses (charges et différents coûts) ;
- elle peut être mensuelle, trimestrielle, semestrielle, ou annuelle (détermination du résultat analytique pour chacune des périodes précités) ;
- le stock dans la CAE peut être connu à n’importe quel moment de l’année grâce à la technique de l’inventaire permanent ;
- la CAE détermine le résultat par produit ou par branche d’activité.

(Exemple : une entreprise de confection peut calculer les résultat par produit : vêtements pour enfants, jeunes ou adultes).
En conclusion la CAE est une comptabilité qui s’applique surtout dans les entreprises industrielles, c’est pourquoi on l’appel souvent la comptabilité industrielles.
B) Les raisons historiques :

La CAE a vue le jour dans les années 30 c'est-à-dire en pleine crise mondiale, pour sortir de cette crise, les entreprises capitalistes chercher à maximiser leur profit.
En sait que bénéfice = prix de vente - coût de revient, donc pour augmenter le bénéfice on a 2 solutions :
 soit augmenter le prix de vente ;
 soit diminuer le coût de revient.

Le capitalisme de l’époque est un capitalisme concurrentiel, donc la première solution est à écarté (perte de la clientèle) il nous reste donc la deuxième solution.
Mais le problème qui se pose et que pour diminuer le coût de revient il faut d’abord le connaître (coûts de revient est la somme de différentes charges)
La CAE peut être défini comme la connaissance des coûts et coûts de revient.

Section 2 : Les charges de la CAE :

Les charges de la comptabilité générale (classe 6) sont reprises par la CAE, cependant certaines charges ne le sont pas. On les appelle les charges non incorporables, elles comprennent :
- toutes les charges non courantes ;
- certaines charges courantes que l’analyse ne permet pas de considérés comme tel, il s’agit des :
·         fractions des dotations aux amortissements qui excédent les dotations fiscales ;
·         impôts sur les résultats ;
·         charges courantes se rapportant aux exercices antérieurs ;
·         dotations aux amortissements des immobilisations en non valeurs (pas de valeur réel, actif fictif) ;
·         charges qui représentent les charges récupérables sur les tiers

(Exemple : taxe avancées sur le compte des autres) ;
·         charge qui représente la couverture d’un risque (provision pour litige, pour dépréciation).

D’autre part des charges qui ne figurent pas dans la CG sont prises en considération par la CAE, sont les charges supplétives, elles comprennent essentiellement :
- la rémunération du travail du dirigeant ;
- la rémunération du capital à un certain taux d’intérêt dans la société ;
- les charges d’usage


lundi 27 février 2012

BILAN FINANCIER OU PATRIMONIAL

BILAN FINANCIER OU PATRIMONIAL

Introduction :
Le bilan patrimonial ou liquidité permet d’évaluer l’actif et le passif de l’entreprise à sa valeur actuelle .il permet de vérifier la capacité de l’entreprise à rembourser ses dettes .Pour cette approche financière, les actifs sont évalués par ordre de liquidité croissante et les passifs par ordre d’exigibilité croissante.
L’utilisation du bilan liquidité est généralement bancaire et a  pour but d’apprécier la solvabilité de l’entreprise
La solvabilité est l’aptitude de l’entreprise à régler l’ensemble de ses dettes en réalisant ses actifs
Une entreprise est liquide si ses disponibilités sont suffisantes pour faire face à ses échéances.

I.    Règles d’évaluation

  •    Les actifs immobilisés figurent pour leur valeur nette. Si la valeur actuelle est différente de la valeur nette comptable résultant du plan d’amortissement, un amortissement ou une reprise exceptionnelle est pratiqué.
  •    L’actif est classé par ordre de liquidité croissante, les actifs les moins liquides (immobilisations) étant inscrits en haut du bilan .L’ensemble des actifs est évalué en valeur nette
  •    La distinction « moins d’un an, plus d’un an »pour les créances et dettes est fonction de l’échéance des prêts et emprunts. Ainsi une dette financière peut être partagée entre les capitaux permanents pour la partie à rembourser à plus d’un an et les dettes à rembourser à moins d’un an pour les échéances à rembourser sur l’exercice suivant.
  •     Le passage du bilan comptable au bilan financier, exige principalement le retraitement des créances et dettes en fonction des échéances restant à courir à plus d’un an et à moins d’un an.
  •     L’ensemble des valeurs mobilières de placement facilement négociable est inclus dans les disponibilités.

II. Les retraitements du bilan
A.    Les retraitements de l’actif du bilan
a)    Les charges immobilisées
Elles sont considérées comme des non-valeurs (actifs fictifs) à retrancher de l’actif et des capitaux propres.
NB :
Si les charges à repartir sur plusieurs exercices représentent les frais de formation de personnel, elles demeurent dans l’actif réel.
Si les frais de recherche et de développement
  •     se rapportent à des projets nettement individualisés avec des coûts distinctement établis et avec de sérieuses chances de réalisation ;
  •    correspondent à une intention de l’entreprise de réaliser effectivement ces projets et de rassembler les ressources nécessaires à sa réalisation technique et de rentabilité commerciale.
Ils doivent être maintenus dans l’actif réel.

b) Les immobilisations financières
Celles dont l’échéance est à moins d’un an  sont transférées dans l’actif circulant.
c) Stock permanent :
Les entreprises ayant un stock permanent minimum nécessaire à la production (stock outil) ou un stock permanent de sécurité peuvent inscrire cette partie de stock en actif immobilisé .Il pourra en être de même pour  les stocks à faible taux de rotation (par exemple, stock de pièces de rechange….)

d) Les effets escomptés non échus
:
Ils sont retraités  de la même manière que dans le bilan fonctionnel.
e) Les créances clients : les créances douteuses sont à inscrire dans l’actif immobilisé.
f) Les charges constatées d’avance :
À reclasser suivant l’échéance .Mais si la charge  constatée d’avance concerne un loyer payé d’avance ou une prime d’assurance, dans la perspective d’un arrêt  de l’activité alors elle doit être considérée comme non valeur.
g) Les écart de conversion actif : (confère bilan fonctionnel) sans information ils doivent être éliminés de l’actif et retranchés des capitaux propres (1) mais seulement dans la mesure où la perte latente n’est pas couverte par une provision pour risques.

B.    Les retraitements du passif
a)    Les ressources durables
Sont à retrancher :
  •    Les actifs fictifs
  •     La partie du résultat de l’exercice qui sera distribuée dans moins d’un an ;
  •    L’impôt latent à moins d’un an contenu dans les subventions ; les provisions réglementées (provisions pour hausse de prix, provisions pour investissement, provisions pour fluctuation des cours, les plus values sur cession) et sans objet.
  •     Les provisions destinées à couvrir des risques ou des charges à moins d’un an.
  •     Les dettes financières dont l’échéance est à moins d’un an.
Sont à ajouter :
  •     Les dettes non financières dont l’échéance est à plus d’un an.
b)    Les dettes non financières :
Sont à retrancher :
o    Les dettes dont l’échéance est à plus d’un an.
Sont à ajouter :
o    La partie du résultat de l’exercice qui sera distribuée ;
o    L’impôt latent, à moins d’un an, contenu dans les subventions, les provisions réglementées et sans objet.
o    Les provisions destinées à couvrir des risques ou des charges à moins d’un an ;
o    Les dettes financières dont l’échéance est à moins d’un an.
NB :
Les provisions pour risques et charges pourraient être  éclatées :
-dans les capitaux propres pour la partie à caractère de réserve,
-dans les dettes à long terme pour la partie destinée à couvrir une charge décaissable à plus d’un an,
-dans les dettes à court terme pour la partie décaissable à moins d’un an.
Les produits constatés d’avance sont reclassés dans les dettes à plus d’un an ou dans les dettes à moins d’un an selon leur échéance.
Les écarts de conversion passive (confère bilan fonctionnel) sans information ils doivent être réintégrés dans les capitaux propres (2).


III. PRÉSENTATION DU BILAN FINANCIER

Actif
actif immobilisé (valeur nette)
-charges immobilisées
-immobilisations financières (à -1an)
+créances à + 1 an
+stock outil
+VMP difficilement négociable
Total actif  à plus un an

Valeur d’exploitation et valeur réalisable (stock+créances)
+immobilisations à - 1 an
+effets escomptés non échus
-créances à + 1 an
- stock à + 1 an
-effets escomptables facilement (plafonds d’escompte)

Total Actif à moins d’un an
Valeur disponible
+effets escomptables facilement (plafonds d’escompte)
-VM de placement difficilement négociable
Total valeurs disponibles
Total général

Passif
Capitaux propres
-charges immobilisées
+écart de réévaluation
-impôt/subvention
-impôt/provision sans objet
-impôt/provisions réglementées
-dividende à payer
-ECA (1)
+ECP (2)
Total capitaux propres

Dettes à plus d’un an
Emprunt
-emprunt à moins d’1 an
- ECA/ emprunt
+ ECP/emprunt
+provision pour risque
+dettes d’exploitation à + 1 an
+dettes fiscales latentes
Total dettes à plus d’un an

Total capitaux permanents

Dettes à moins d’un an
Dettes d’exploitation
+Dettes fiscales latentes
+Emprunt à moins d’un an
+Provision pour risque à – 1 an
+impôt/provision sans objet
+dividendes à payer
-ECA/ fournisseur
+ ECP/ fournisseur
+banque, crédit d’escompte
+banque, découvert
Total dettes à moins d’un an
Total général

                                                        BONNE CHANCE

jeudi 23 février 2012

 TABLEAU FINANCIER DES RESSOURCES ET DES EMPLOIS (TAFIRE)
   
Le tableau financier des ressources et des emplois (TAFIRE) fait partie de la méthode d’analyse des flux financiers. Il complète le diagnostic de l’entreprise par une approche plus globale et plus dynamique.
I-DEFINITION ET OBJECTIF
Le TAFIRE est né du désir d’expliquer et d’analyser les mouvements intervenus entre deux bilans, au cours d’une période. Il constitue un état qui décrit la manière dont au cours d’un exercice, les ressources dont a disposé l’entreprise ont permis de faire face à des besoins.
Le TAFIRE permet surtout d’analyser la politique de financement et d’investissement de l’entreprise, et de vérifier si les principes de l’équilibre financier ont été appliqués au cours de la période écoulée.

II-ELABORATION DU TAFIRE
Le principe de la construction de TAFIRE procède de l’application conjointe de deux critères :
- un critère de stabilité ; il est appliqué pour identifier les emplois et les ressources concourant à la détermination de la variation du FRN global.
- un critère de rattachement aux cycles fondamentaux d’activité de l’entreprise, c'est-à-dire le cycle d’investissement, le cycle d’exploitation et le cycle de trésorerie.
L’établissement du TAFIRE est un processus en quatre étapes dont le bilan différentiel, le Tableau des Emplois et des Ressources (TER), le calcul de certains emplois et ressources et le TAFIRE proprement dit.

1) le bilan différentiel
L’élaboration du TAFIRE se fait sur la base de deux bilans consécutifs, pour lesquels on fait les différences poste à poste de façon à dégager les flux de fonds. On aboutit alors au bilan différentiel.

2) le tableau d’emplois et ressources (TER)
A partir du bilan différentiel est établit le tableau d’emploi et ressource. Il s’agit de qualifier d’emplois ou de ressources les différentes variations obtenues à partir de ce bilan différentiel.
-on appellera emploi, toute augmentation d’un élément d’actif et toute diminution d’un élément de passif.
-on appellera ressource, toute diminution d’un élément d’actif et toute augmentation d’un élément de passif.
Les emplois et les ressources sont ensuite regroupés dans un tableau appelé TER, qui met en relief les quatre grandes masses suivantes : les emplois à long et moyen terme, les emplois à court terme, les ressources à long et moyen terme, les ressources à court terme.
Le TER se présente comme suit :
Emplois   
-emplois à moyen et long terme
.augmentation d’actif immobilisé
.diminution de capitaux permanents

-emplois à court terme
.augmentation d’actif circulant
.diminution de dettes à court terme   
Passif
-ressources à moyen et long terme
.augmentation de capitaux permanents
.diminution d’actif immobilisé

-ressources à court terme
.augmentation de dettes à court terme
.diminution d’actif circulant                   

3) les ressources et les emplois à déterminer
Le tableau d’emplois et ressources construit à partir des variations de postes de deux bilans ne permet pas de reconstruire tous les flux financiers de la période. Il faut donc compléter ces variations par les informations contenues dans les annexes. Il apparaît alors nécessaire, certaines fois, de calculer les ressources et les emplois, en vue de l’établissement du TAFIRE.

a-    les ressources à déterminer
Les ressources à déterminer sont de façon générale :
-la CAFG
-les cessions d’éléments d’actif immobilisé
-les augmentations de capital
-les emprunts nouveaux à plus d’un an.

b-les emplois à déterminer
Les emplois à déterminer généralement sont :
-les dividendes
-les acquisitions
-les réductions de capitaux propres
-les remboursements de dettes financières

4) la structure du tableau de financement
Le TAFIRE peut avoir plusieurs présentations ; le SYSCOHADA a adopté une structure en plusieurs tableaux  regroupés en deux parties.
La première partie est un tableau d’emploi et ressource (TER) à long terme qui met en évidence la variation du fonds de roulement net (FRN) issue du cycle d’investissement.
La deuxième partie qui s’établit en termes de besoins (emplois) et de dégagements (ressources) fait apparaître la variation du BFE, la variation de la trésorerie, puis la variation du FRN.

mercredi 22 février 2012

RÉSUMÉ DU COURS SUR LE BILAN FONCTIONNEL

RÉSUMÉ DU COURS SUR LE BILAN FONCTIONNEL
 

L’analyse du bilan permet d’apprécier la situation financière d’une entreprise à un moment donné. On peut également comparer plusieurs bilans successifs afin de déterminer une évolution.
Le bilan fonctionnel présente côté passif les ressources à disposition de l’entreprise et côté actif les emplois réalisés grâce à ses ressources. L’analyse fonctionnelle permet de mesurer les capitaux nécessaires au financement des investissements ainsi que ceux liés au cycle d’exploitation (achat, production, vente). Le bilan en grandes masses contribue aussi à l’appréciation du risque financier encouru par l’entreprise.

L’objectif poursuivi par le bilan fonctionnel est de regrouper les éléments du bilan comptable selon des critères fonctionnels, c'est-à-dire suivant leur fonction lors de leur apparition dans l’entreprise. On distingue ainsi trois fonctions ou cycles d’opérations dans l’entreprise :
- la fonction d’investissement ou opération d’investissement
- la fonction de financement ou opération de financement
- la fonction d’exploitation ou opération d’exploitation
Toutes ces fonctions ou opérations ont des incidences sur la situation de trésorerie, qui se traduisent notamment par des entrées ou des sorties d’argent. Certains auteurs ajoutent de ce fait une quatrième fonction : la fonction trésorerie, qui est la résultante de l’ensemble des autres opérations.


 CONSTRUCTION DU BILAN FONCTIONNEL



ACTIF 
  
ACTIF IMMOBILISE

Immobilisations incorporelles
Immobilisations corporelles
Immobilisations  financières

ACTIF CIRCULANT
Stock
Créances

TRESORERIE ACTIVE
Disponibilités


PASSIF

 CAPITAUX STABLES

Capital
Amortissements et provisions de l’actif
Provision du passif
Dettes financières


   AUTRES DETTES
Fournisseurs
Fiscales et sociales

 TRÉSORERIE  PASSIVE
Concours bancaires


•    Les retraitements

                                    Au sein du bilan

-    capital souscrit non appelé : il est à enlever de l’actif et à déduire du capital social
-    amortissement et provisions de l’actif : ils sont à classer dans les capitaux stables
-    charges à répartir : elles sont à classer dans les emplois stables
-    écarts de conversion actif : ils sont à rajouter aux postes d’actif concernés et à retrancher aux postes de passif concernés
-    écarts de conversion passif : ils sont à rajouter aux postes de passif concernés et à retrancher aux postes d’actif concernés
-    prime de remboursement des obligations :
-    intérêts courus : ils sont à rajouter dans les dettes circulantes
-    concours bancaires courants ou soldes créditeurs de banque : ils sont à déduire des dettes financières et à rajouter dans la trésorerie passive
-    produits et charges constatées d’avance : ils sont à reclasser dans les postes appropriés



    Hors bilan

-    effets escomptés non échus : ils sont à rajouter aux créances clients et à rajouter également aux concours bancaires
-    crédit-bail : la valeur d’origine du bien est à mettre en immobilisation, les amortissements sont à rajouter dans les capitaux stables et la valeur nette comptable du bien est à rajouter aux dettes financières.
Valeurs mobilières de placement : si elles sont considérées comme très liquides, elles peuvent être rajoutées à a trésorerie active, sinon laissées en créances